Soit on le sait et on compose avec. Soit on l’apprend à nos dépens, on arrête de croire que la vie n’est que réussite et on se prépare à la prochaine mue. Et ça va gratter !
Accepter, digérer continue de prendre du temps, amorcer un changement aussi. Ceux qui disent le contraire – pour vendre - se basent seulement sur le déclic, mais qui ne représente que 5 % du processus. Le reste est sinueux, fait de parties victorieuses et d’autres perdues, sans proportions statistiques et prévisibles. Certains diront que c’est un joyeux bordel et d’autres se débattront dans les doutes, avec un petit arrière-goût amer.
J’espère que cette publication ne vous apprend rien. Sinon allez jetez un œil à la notion de l’impermanence. Ce n’est qu’un doux rappel que je vous fais, que je me fais. Ça ne fait pas mal et ça m’a prit que 10 minutes.
S’il peut y avoir quelque chose à faire pour accompagner tout ça, c’est :
- de trouver votre lien à votre joie la plus primitive
- de nourrir le minimum d’attentes
- de favoriser votre créativité sous toutes ses formes
- de vivre en présence des trucs simples
- d’éviter de vous juger trop durement dés qu’il y a un écart
- et de ne jamais oublier l’accès direct à vos sens : le goût, la vue, l’odorat, le toucher et l’ouïe.
Si c’est clair et évident, alors je suis véritablement heureux pour vous. Sinon, je vous encourage à vous défaire de vos frustrations en les regardant en face. Et si vous avez atteint un plafond de verre, malgré votre engagement, alors poussez ma porte, je vous y accueillerai avec plaisir pour en parler et faire un peu de ménage ensemble. Et vu que je connais très bien ce processus, avec plus de 20 ans d’introspection à mon compteur, seul ou accompagné, je ne vous vendrai pas du rêve, mais je vous assure que j’ai suffisamment de détachement pour ramener du sourire là-dedans et vous faciliter la suite de l’aventure :)
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